SOMMAIRE MAI 2009

 
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400 millions de personnes souffrent de la faim en Asie du Sud

Le rapport de l’Unicef, le Fonds des Nations unies pour l'enfance, est accablant. « En l'espace de deux ans, le nombre de gens souffrant de faim chronique en Asie du Sud a augmenté de 100 millions. Ils étaient déjà 300 millions avant le déclenchement de la crise économique. Ils sont dorénavant plus de 400 millions », peut-on lire dans ce document.



OKAPI

L’okapi (Okapia johnstoni) est une espèce de mammifère ruminant de la même famille que la girafe, venant des forêts équatoriales de l'Afrique centrale. Bien que connu par les Pygmées, il est « découvert » en 1901 par Sir Harry Johnston à qui il doit son nom. C’est l’un des derniers grands mammifères à être observé scientifiquement sur la planète. Cet animal dont l’allure étrange rappelle à la fois celle du zèbre et de la girafe vit exclusivement dans une petite région de la République démocratique du Congo, la forêt tropicale de l’Ituri, où une réserve lui est spécialement dédiée. Son nom vernaculaire en lingala est mondonga. Lire la suite sur le lien suivant OKAPI

SANTE





PNMLS,programme de lutte contre le danger permanent pour tous :SIDA.
La securite alimentaire ,l'un des gardes fou essentiel pour la societe .
Le retour du virus d'ebola en RDC

"cette information est tiree de France24"

REUTERS - Les autorités sanitaires de la République démocratique du Congo ont annoncé jeudi un retour du virus Ebola, qui a fait neuf morts dans la province du Kasaï, dans le sud de la RDC.

Ce virus a fait son apparition le 27 novembre dans le Kasaï occidental et des échantillons de sang et de selles ont été envoyés à des laboratoires situés au Gabon et en Afrique du Sud à des fins d'analyse.

"A la suite des analyses d'échantillons prélevés à Kalwamba, il est maintenant reconnu que nous faisons face à une épidémie de la fièvre virale hémorragique Ebola", a déclaré le ministre congolais de la Santé, Auguste Mopipi Mukulumanya.

Il n'existe pas de remède ou de traitement pour ce virus, qui tue de 50 à 90% de ses victimes.

Mukulumanya a déclaré qu'une épidémie de fièvre Ebola survenue l'an dernier dans la même région avait, selon les premières estimations, fait 174 morts sur 400 cas présumés. Des experts médicaux pensent maintenant que le bilan était peut-être beaucoup moins élevé.

Quatre-vingt-douze personnes qui auraient été en contact avec les neuf victimes de l'épidémie actuelle ou auraient présenté des symptômes de la maladie sont suivies par les autorités sanitaires congolaises.

Médecins Sans Frontières a envoyé cette semaine une équipe de médecins, d'infirmières et de logisticiens au Kasaï occidental et des spécialistes de la fièvre hémorragique ainsi que des épidémiologistes sont aussi attendus dans la région.

Les symptômes d'Ebola débutent par de la fièvre et des douleurs musculaires suivies de vomissements, de diarrhée et, dans certains cas, d'hémorragies internes et externes.

En 1995, une épidémie d'Ebola au Congo démocratique, alors appelé Zaïre, avait tué 250 des 315 personnes atteintes.

MAGPEOPLE - Lire la suite dans le Magazine № 001 en publication


DERNIÈRES NOUVELLES DU SUD MONDE: Afrique, une solitude géopolitique dans l’ère de la mondialisation.

Unifié le monde après le refoulement du Mur de Berlin, il est apparu clair que le système international économique et politique n’a pas été apte à assumer l’entière population mondiale dans un projet commun et unique de vie et de développement. D'autre part les états africains, le 1989 a été le début d’une longue période d’éclipse géopolitique qui persiste désormais depuis dix-huit ans. En équilibre instable entre une tradition violentée, mais encore vive et une modernité séduisante et imposée, les sociétés africaines sont entités écrasées. Du point de vue du social, l’Afrique n’est pas morte: c’est une marmite en ébullition.

Pendant les années mille neuf cent quatre-vingt-dix, le continent avait connu une phase politique intéressante, décrite par quelques écoles de pensée, la deuxième vague d’indépendance. La chute du mur de Berlin du point de vue de l’international, le mûrissement d’une société civile désireuse de liberté et d’ouvertures politiques, ils ont fait souffler sur le continent le vent de la démocratisation. Le choix de ce mot n’est pas casuel. La démocratie en Afrique n’est jamais une donnée de fait. Il s’agit d’un procès commencé, à mon avis, de manière irréversible qui doit encore expliciter toutes ses potentialités. Par cette mobilisation, soutien Célestin Monga dans son essai “Anthropologie de la colère”, les peuples africains exprimaient des comportements qui traduisaient le désir d’assumer leur spécificité à affirmer une autre manière d’exister par l’invention de nouvelles manières de production démocratique. C’est à travers ces nouvelles stratégies d’indiscipline populaire, qu’il faut lire l’agitation de la société africaine contemporaine. Aujourd’hui,il faut accorder une grande attention moins à l’Afrique des gouvernements et plus à celle des individus, à leurs attitudes, que ce sont les symboles de l’expression de l’insatisfaction. Une élaboration collective par la méthode de “l’optimisation de l’anarchie”.

En autres mots, la société civile en Afrique est constituée par tous ceux qui expriment un mécontent collectif. Dans certains cas, sans aucun doute, tel procès a été récupéré par des élites pour en faire outil de lutte pour la conquête du pouvoir. Mais des résultats concrets se sont produits au Togo, au Kenya, en Afrique du Sud, au Mozambique, à Madagascar, au Gabon. Petits exemples,très petits, qu’ils indiquent cependant le parcours sur lequel ils se mesureront les capacités des peuples africains d’inventer leur avenir. Cette crise économique a étouffé chaque velléité de parcours économique alternatif à la pensée unique et mis à zéro le débat de la société civile sur un possible modèle de démarche démocratique pour le continent. Sans pain, la démocratie a fini pour s’ensabler. Les programmes d’ajustement structural (PAS), inspirés aux principes du libéralisme mondial, ont fait le reste : ils ont éludé la réflexion et ces aspirations sur un possible et nouveau modèle de développement économique et politique. Les théories du développement économique et leur faillite sont sous les yeux de tous. La situation est empirée et la crise de la dette déduit une situation économique désastreuse du continent. Les nombreux chantiers pour la construction des nouvelles grandes infrastructures (les digues du programme Water Project du Lesotho aux zones arides de l’Afrique du Sud, les mille kilomètres de chemin de fer entre Bénin,Niger et Burkina Faso ou la construction du port maritime de Kribi au Cameroun) sont seulement des affaires économiques à réaliser pour les entreprises occidentales, processus d’expansion économique qui n’ont rien à que faire avec les stratégies de lutte contre la pauvreté. Simples actions de délocalisation industrielle occidentale.

L’idée que la démocratie soit un luxe pour les peuples africains est une fausseté La confusion entre multi partitisme et multi ethnicisme (c’est-à-dire quand les contours de l’appartenance ethnique coïncidaient avec ceux du militantisme politique) a engendré violence inouïe. Somalie, Burundi, Rwanda, Ouganda, Sierra Leone, ils sont des exemples éclatants dont je retournerai dans mes prochaines analyses et réflexions...


Par Antonio M.
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